Depuis le début du premier confinement, presque la moitié des chrétiens, ont disparu des lieux de culte.
Mais la présence à l’église n’est pas forcément la manifestation de la foi, outre l’eucharistie, les chrétiens peuvent s’occuper de leur prochain, aider les pauvres etc . « Soyons attentifs les uns aux autres, indique le père Patrick Rollin, recteur de Saint-Bonaventure, cela fait autant partie de la vie de foi que l’eucharistie ».

Il faut tout de même reconnaitre que faire communauté nourrit la vie spirituelle, et actuellement cette chaleur entre chrétiens manque. Le virus à rouvert la plaie de l’individualisme, les fidèles ne peuvent plus, ou moins se retrouver, les rencontres leur manquent.
Mais il faut rester optimiste ! L’expérience traversée aujourd’hui permettra peut-être de rebondir à l’automne et de trouver de belles réalités à mettre en musique pour retisser les liens distendus !
La seule chose à faire actuellement, est de marcher sur des chemins d’espérance, pour aller vers des jours meilleurs !
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