Acte antisémite
La dégradation de la plaque commémorative située 12 rue Sainte-Catherine, en souvenir des quatre-vingt-quatre personnes juives raflées le 9 février 1943 par la Gestapo de Klaus Barbie, avec la complicité de l’Etat français, est fermement condamnée par les autorités, et principalement la mairie du 1er et par les lyonnais. Les auteurs de cet acte immonde…