Mes chères incurables !
Cela fait deux cents ans qu’Adélaïde Perrin prononçait ces mots, en parlant des jeunes filles qu’elles avait recueillies, d’abord dans un appartement à Saint-Georges, puis à la Maison Capelin, rue de l’Abbaye d’Ainay, sur le tènement du Centre Adélaïde Perrin, qui a souhaité ses deux siècles d’existence, le vendredi 18 octobre. Poursuivre l’œuvre Née en…