En ce qui concerne la mobilité urbaine, il s’agit de connaitre l’impact des infrastructures routières sur la qualité de l’air, ce qui est encore une interrogation.
La Métropole réduit la circulation et la vitesse dans de nombreux endroits, sans réellement connaitre les bénéfices apportés, et souvent en déplaçant le problème. L’accélération pollue ; pour la réduire, certaines voiries sont rétrécies, mais cela provoque des bouchons, d’où pollution !
Pour améliorer la qualité de l’air, la Métropole incite les citoyens à changer de comportement. « Nous essayons d’accompagner ces changements en finançant certains projets innovants en rapport avec la qualité de l’air, indique Julie Vallet chargée de mission environnement au Grand Lyon, ceci afin d’apporter de réelles solutions environnementales et sociétales pour demain ». L’objectif est d’améliorer l’air en améliorant la voirie et en impliquant les usagers au moyen d’une application smartphone Geco air – déjà six mille utilisateurs dans la région lyonnaise – ainsi qu’en leur conseillant d’avoir une conduite plus fluide.
Bref, transports et circulation doivent accroitre leurs efforts pour limiter les émissions polluantes.
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